Un petit peu de ma vie au cambodge

Bonjour à tous, voici un petit moment que je n'ai pas écrit sur le blog, par manque de temps, car mes journées sont bien remplit et que je consacre mon temps au retouche des photos que vous pouvez voir ci dessous.

Rendez vous avec mon guide pour une journée riche en évenement. Il est 07h00 du matin et nous partons sillonné les alentours de siem reap. Au détour d"une rue, une musique nous alerte. Mon chauffeur s'arrête, et m'explique que dans cette bâtisse se prépare les cours de danse traditionnel ainsi que les danse d'aspara. On nous invite à y entrer et fais la connaissance de la prof de ses petites danseuses. 3 classes présentent, d'un age compris entre 6 et14 ans, toutes ces jeunes filles sont issue de famille pauvre et leur but : devenir danseuse aspara. Je suis ensuite invité à voir une autre classe sur une terrasse à l'étage ou est enseigné la danse traditionnel khmer. Seul sur ma chaise face à la scène, j'observe ce petit spectacle privé hautement coloré coordonné par la vieille prof de danse. j'ai du rester une bonne heure et demi dans cette école de danse, à regarder, photographier, et admirer ces jeunes danseuses et danseur. Un peu plus loin sur la route, en pleine campagne, j'aperçois 3 femmes dans un champs. Je demande à mon chauffeur de s'arrêter et il m'explique que ces jeunes femmes s'occupent de labourer le terrain d'un champs de canne à sucre. Je vais à leur rencontre, leur pose quelques questions et il s'avère qu'elles travaillent pour le compte d'un patron à qui appartient le terrain et qu'elles n'étaient payer que 3 dollars/jour. Une misère en comparaison de la charge de travail sous un soleil de plomb et ce pendant 8h. Encore plus loin sur la route, un petit cours d'eau ( les restes de la mousson) et au milieu de ce cour d'eau, un pêcheur et son fils. Le fils préparé le feu, tandis que son père lui, s'occuper d'attraper le poisson tant bien que mal à l'aide du filet. Encore plus fort, après quelques tentatives ratées au filet, il se décide d'attraper le poisson à la main. Un vrai coup de main dans une eau boueuse, il en ressortira plusieurs poissons. Il pêche depuis ce matin et ceux jusqu'à la nuit tombé. ensuite sa famille et ses amis les rejoindront à l'heure du repas, pour manger tous ensemble le fruit de la récolte.
Plus loin dans un chemin de terre défoncé ou je suis valdingué dans le tuktuk, un village de pêcheur, vivant donc de la pêche, mais aussi de la récolte de riz. Leurs conditions de vie est difficile.De petites maison en bois qui tienne on ne c'est comment, parsemé de détritus, mais des gens simples et accueillants. Je m'avance devant l'étendue de rizière, un vert magnifique à perte de vue, au milieu des bœufs et des oiseaux, cela m'offre une vue incomparable et surtout inoubliable.
D'autres choses et beaucoup de choses ce sont passées depuis que je suis arrivé, comme notamment les cérémonie auxquels j'ai pu assister, les diverses rencontres avec les moines dans les pagodes, la visite du vieux marché, les jeunes écoliers à vélo ou à leurs écoles, Les gens tout simplement qui feront ne jamais me faire oublier le Cambodge et encore d'autres moments à vous raconter bientôt car je reste encore 14 jours au Cambodge avant de décoller pour la Thaïlande.